Le Livre – Donner votre avis

Synopsis

Thel, un policier new-yorkais désabusé, est confronté à un crime étrange: un jeune homme a été retrouvé égorgé, le drapeau des Etats-Unis dessiné sur le front. Le FBI et la CIA, dans le contexte d’angoisse de l’après 11 septembre, penchent très vite pour la thèse d’un complot islamiste et s’emparent de l’enquête.

Quand une autre victime est retrouvée égorgée à Chicago, avec cette fois le drapeau britannique comme signature, Thel, obstiné, décide de poursuivre les recherches de son côté. Elles le conduiront à Nice, Los Angeles et San Francisco. Il ne tardera pas à comprendre qu’il n’est qu’un pion dans le projet machiavélique du meurtrier, qui l’oblige à faire resurgir du passé de douloureux souvenirs.

Laisser vos commentaires, et acheter le livre sur Amazon.fr et fnac.com.


62 Réponses to “Le Livre – Donner votre avis”

  1. Le commentaire est développé sur ISULARAMA, le plus ghisonais des blogs culturels de Corse. Avant toute lecture : ce n’est rien d’autre, pour l’instant, que le cri du guetteur signalant aux étourneaux de sa bande l’apparition d’un objet appétissant dans son champ visuel. Bravo ! Très cordialement,

  2. Ai été sur le site Isularama de Xavier: c’est fin, bien analysé, franc et très sympathique. Pace e salute. Au plaisir de te voir en août.

  3. c’est un polar qui sort de l’ordinaire, il aborde l’enquête avec tellement de détails, qui font que sans se rendre compte on voit exactement comment est Thelonious et son environnement proche. De plus, ce livre est une merveille que l’on savoure avec beaucoup de plaisir car l’auteur réussi le pari de vous faire oublier le quotidien pour vous faire rentrer dans celui de Thelonious, le beau flic américain.
    L’histoire s’enchaîne sans vous laisser le temps de dire ouf, et là, on se dit vivement le prochain livre de M. Constantini.
    Encore merci,

  4. je viens de finir à l’instant votre ouvrage,je l’ai dévoré en deux jours, vivement la suite des aventures de thelonius q’un mot : BRAVO!!! et bonne continuation

  5. Bonjour, c’est alban, le JRI de france 3. Je suis très heureux de vous avoir rencontré ce matin… je me lance dans l’aventure de « la note noire » dès ce soir….

  6. J’ai terminé il y a quelques jours déjà La Note Noire. Je me sens déjà orpheline…. Thelonious m’a accompagnée pendant plusieurs jours, à un moment de ma vie plutôt « noir ». Il m’a fait voyager, en musique, et quelle musique… Entre deux chapitres, le jazz a continué de bercer des nuits qui sans lui, auraient été plus tristes. Il m’a aussi bien eue, Thelonious, car je me suis laissée embarquer sur de fausses pistes. Thelonious aime les femmes, et j’aime qu’il les aime. Même si j’aurais deux mots à lui dire à ce sujet… Je n’aurai qu’un mot : reviens vite, Thel…

  7. Un polar dans la pure tradition du roman policier, le petit plus c’est l’humour; je cherchais ce livre depuis longtemps. çà y est !on le tiens, on ne le lâche pas …Et n’oubliez pas vos bonnes librairies de quartier où l’accueil fait toute la différence. Librairie la Lettre Ouverte, 213, rue de la Convention Paris X.V. Alain

  8. Enfin un polar où l’on prend plaisir à se laisser porter par les personnages, les profils psychologiques sont attachants et congruents : Un véritable travail de profiler. Maude

  9. Hé ben, j’te dis pas le bazar qu’il y a sous cette calvitie naissante, celà a dû te soulager d’écrire ce roman…
    Est-ce le côté sanguinaire qu’il y a en chacun de nous, qui ressort?
    Lorsque je vais te croiser dans le couloir j’aurais une petite appréhension.
    Pas toujours facile à lire, avec tous ces moulthes détails, ces retours en arrière, ces changements de décors, ces noms à coucher dehors…
    Il est vrai que je suis abonné au Chasseur Français.
    Bravo d’être aller jusqu’au bout de ta passion, merci de nous avoir fait voyager, de nous avoir fait partager tes grandes angoisses et ton amour de la musique.
    Et quelque part j’étais certain de trouver une histoire de « poil » dans ton roman.

  10. Hé ben, j’te dis pas le bazar qu’il y a sous cette calvitie naissante, celà a dû te soulager d’écrire ce roman…
    Est-ce le côté sanguinaire qu’il y a en chacun de nous, qui ressort?
    Lorsque je vais te croiser dans le couloir j’aurais une petite appréhension.
    Pas toujours facile à lire, avec tous ces moulthes détails, ces retours en arrière, ces changements de décors, ces noms à coucher dehors…
    Il est vrai que je suis abonné au Chasseur Français.
    Bravo d’être aller jusqu’au bout de ta passion, merci de nous avoir fait voyager, de nous avoir fait partager tes grandes angoisses et ton amour de la musique.
    Et quelque part j’étais certain de trouver une histoire de “poil” dans ton roman.

  11. Un polar américain, 100% français dans son style, son humour et ses jeux de mots, bref une nouvelle marque de fabrique dont on n’a pas fini d’entendre parler et un héros attachant dont on attend avec impatience les prochaines aventures. En revanche… Peneloppe Cruz middle!!! tu avais oublié tes lunettes ou quoi???

  12. beaucoup aimé ce livre. Intrigue prenante, le style aussi est percutant hormis 2 ou 3 phrases alambiquées. La narration à la 1ère personne puis à la 3ème, le déplacement du lieu de l’action, les expressions anglosaxonnes, tout cela en fait un livre que j’ai aimé fermé pour le reprendre… pas envie de le terminer ! La fin cependant m’a paru trop explicative. Que tout ne soit pas élucidé et c’est notre imagination de lecteur qui continue l’histoire. Merci.

  13. Un polar qui nous tient en(bonne)haleine.Des references (nombreuses)qui confirment que l’auteur aurait quelques solides connaissances en matière de Jazz et qu’il aimerait tout particulierement les Etats Unis.Une intrigue crédible dans un style qui peut rappeler Peter Cheney.Quant à l’humour,il fait bien… du bien.Bravo à l’auteur pour ce premier roman bien « échafaudé ». Continues, perseveres et restes Thel que tu es.Fred (Law Year 2009)

  14. Un régal pour les yeux ,un plaisir d’évasion.
    dans ambiance obscure, un sombre héros qui, tenace , élucidera une veritable énigme.
    Un chef d’oeuvre, pour un premier roman.

  15. comme pour un bon diner!!! comment accompagner ce formidable bouquin!! en ce qui me concerne c’est the bird qui a été présent pendant tout le temps!,
    C’est le livre et l’atmosphère que j’aurais aimé créer.
    Monsieur j’ai aimé votre livre, et l’univers dans lequel je suis entré à vos côtés.

  16. A quand le prochain? j’ai hâte de retrouver ce personnage attachant et cette ambiance tellement particulière.

  17. Très bon polar. Thel est attachant. Mais une petite erreur page 118: un examen de poil au microscope electronique nécessite une préparation (métallisation) et demande bien plus de 5 minutes. Sans rancune.

  18. J’en suis à la page 84 et je n’attends pas plus pour vous dire que ce polar est EXCELLENT !

  19. Bonjour

    j’ai trouve votre livre par hazard dan une grande surface et ai ete ravi et entousiasme par votre thriller qui fait beaucoup reference aux Etats Unis, plus precisement New York et La Californie, ou j’ai la chance de de m’y rendre regulierement. j’aime votre sens du detail ( bien documente et d’actualite), du suspense (je n’ai decouvert la solution que dans les dernieres pages – bravo) et votre style direct avec reference au Jazz, qui apporte cette touche ‘noire’ d’un excellent thriller

    continuez et tenez moi informe de votre nouveau roman

    je suis deja accro !

  20. Très bon polar. Histoire originale !!! on attend le prochain…..
    Et pourquoi pas en faire un film ?

  21. EXCELlENT ! Un vrai régal ! Je le conseille ! Vivement le prochain
    Pour quand est il prévu ?

  22. On ne l’a pas encore lu ! mais on en parle tellement autour de nous que nous nous mettons à la lecture dès ce soir !!
    Les voisins de Doro

  23. J’ai dévoré la note noire ! Acheté par mon fils samedi 23 mai (avec dédicace de l’auteur… merci !!),je l’ai commencé le lendemain dimanche et terminé dans la journée ! j’ai tout simplement adoré ! le rythme, l’histoire très bien ficelée ! Vivement votre prochaine parution…
    Bernadette de Saint Paul de Vence

  24. Parfait. Rien à dire.
    Un régal pour tous les sens.
    Englouti en 3 j chrono.
    Quelle richesse dans le détail.
    J’attends le retour de Thel et surtout d’en savoir plus sur Anna B…..
    Il faut publier la BO sur iTunes.
    Long Live the Chief Costantini.

  25. Une note noire pour une symphonie haute en couleurs! Une intrigue époustouflante, des tempéraments à grimper aux Aiguilles de Bavella, une atmosphère de diversité…tout cela me dit Monsieur Christophe que d’autres notes jazzy vont suivre avec j’espère autant de talent! BRAVO!

  26. Félicitations ! Je l’ai dévoré et il a déjà rencontré beaucoup de succès autour de moi. Je suis prête pour le suivant … « Une note noire » renouvelle le genre et nous transporte dans une atmosphère différente

  27. bonjour à toi « l’artiste »
    grâce à ton polar, le trajet en RER jusqu’à Saint Lazare cette semaine a été un plaisir. Je te connaissais musicien et maintenant écrivain, dans les deux cas c’est un plaisir de connaître !
    félicitations et vivement la suite !

  28. Je viens de le lire d’une traite . Aussi bien le scénario , que le style , et les références jazzistiques m’ont enthousiasmés . A quand les suivants ?

  29. Bonjour, je viens de finir votre premier roman acheté hier au festival du livre de Nice où, non seulement vous m’avez écrit une très sympathique dédicace, mais vous l’avez fait en me confiant quelques éléments de votre vie qui seront sûrement matière un jour à un autre roman! Merci, j’ai beaucoup aimé votre livre, tant la description minutieuse des personnages ( je viens de voir que Théolonious Avogaddro est sur facebook ! ), l’intrigue qui m’a tenue en haleine, votre humour, vos clins d’oeil aux grands noms du jazz, les références à la psychanalyse…Tout cela fait un excellent polar.
    Au fait, l’auteur de  » mon vieux » est Thierry Jonquet !
    A bientôt j’espère , peut-être au festival du livre de Mouans-Sartoux?

  30. Au festival du livre de Nice, j’ai acheté La note noire de Costantini qui vient d’obtenir le prix du premier roman [policier] au festival de Beaune (qui a succédé au festival de Cognac). Après un sympathique échange autour du jazz, du polar et des boissons alcoolisées, j’ai promis à l’auteur de lui faire part de mes impressions de lecture. Je m’acquitte donc ici de ma dette, en précisant que j’ai lu les 276 pages de ce polar en moins de trois jours alors que je n’avais plus lu (pour le plaisir) un seul livre depuis juin 2005 (début d’une grosse déprime) bien que depuis deux ou trois mois je sente poindre en moi l’envie de relire.
    L’auteur, saxophoniste de jazz à ses heures perdues, a baptisé son héros Thelonious Coleman Avogaddro, Thel pour les intimes. Celui-ci est lieutenant de police à la section Homicide d’un quartier de New York. Le livre s’ouvre sur un double meurtre resté inexpliqué, il y a vingt-cinq ans à San Francisco quand un crime étrange est commis dans sa circonscription qui fait penser à un complot islamique. Un second meurtre a lieu peu après à Chicago avec assez de similitudes pour que la question du tueur en série se pose. On a donc le thème et ses variations, les improvisations. Le jazz reste omniprésent. On assiste à la guerre des polices (New York contre Chicago, FBI contre CIA). Le lecteur est bringuebalé entre les quatre coins de États-unis, les femmes fatales de la vie amoureuse compliquée du policier, les différents milieux (des immigrants illégaux vivants dans des squats jusqu’au candidat à la Maison Blanche), les informations qui tombent… Un nouveau meurtre est commis à Nice où Thel est venu assister au festival de jazz et voir un de ses amis, Jacques, psychologue qui voyage souvent aux USA, de préférence aux dates où les meurtres ont lieu… Suspens, trahisons, rebondissements et les amateurs d’hémoglobine ne seront pas déçus, en particulier par le dénouement. Je déconseille par ailleurs à quiconque d’essayer d’engloutir autant d’alcool que Thel. Au total un polar qui joue et se joue de tous les clichés du genre avec, à mon goût, parfois un manque de simplicité dans l’écriture. A lire toutefois sans hésitation.
    Pour me situer un peu mieux, voici la liste de mes auteurs de polar préférés : Didier Daeninckx, Joseph Hansen, Mary Higgins Clark, Thierry Jonquet, Donald Westlake, Joseph Bialot, ADG, Marie & Joseph, Jonathan Kellerman, Harry Kemelman, Jean-Pierre Bastid, Jean-Bernard Pouy, Pierre Siniac, Jim Thompson, Fred Vargas, Jean Vautrin, Jean-Patrick Manchette, Michael Nava, Tony Hillerman, Sandra Scoppettone…
    Alors vieux motard que j’aimais. Oups, excusez… Vau mai tardi que jamai

  31. excellent polar qui swingue de la 1ère à la dernière page.
    un grand moment de lecture!
    Bravo Mr Costantini et j’attands la suite. Bonne plume.

  32. Enfin un vrai polar à l’americaine à quand au cinéma ,???????

  33. Désolé de dénoter dans ce concert de louanges mais j’ai été assez déçu par ce polar .La psychologie des personnages est sommaire, limite caricature ( mais non c’est un premier degré hélas ).
    Pas une scéne dans une boîte de jazz ce qui aurait justifié le battage des revues jazzistiques et enchanté les connaisseurs, une évocatoon etasunienne plutôt carte postale…
    Un peu sommaire tout cela, sans parler de l’action frisant le ridicule par une sophistication invraisemblable .Constantini me semble terriblement sympathique et un praticien du jazz sûrement trés convaincant. Mais lisez la trilogie Montale d’IZZO , là Marseille vit et n’est pas un simple décor de cinéma .

  34. Liseuse de polars -américains et anglais, très peu de français, hélas- depuis un certain nombre d’années, j’ai donné sa chance à ce premier livre….et je rejoins Lansac (comm. du 7 juillet): sommaire, scolaire et, pour moi, parfaitement inutile.Il y a des règles d’écriture dans chaque genre et M.Constantini est loin de les maîtriser:les descriptions ne doivent pas être « appuyées » et surtout, le lecteur de polar n’a pas besoin qu’on lui mette « les points sur les i ».Plongez-vous dans Vargas, Lehane, Harvey, Mankell, Nesbo, Staalesen…et pourquoi pas Camillieri? Il y a aussi qques fautes de grammaire, une expression très maladroite…Bref, je l’ai lu, le stylo à la amin, pour corriger. Désolée, M.Constantini, continuez à pratiquer le saxo.

  35. Achete a l’homme au saxo aux journees du livre de Sablet et lu d’une traite. Un bon policier avec un petit cote Harry Bosch. A recommander.

  36. bonjour …nous nous sommes croisés à la fête du livre à Sablet et vous avez aimé ma robe et mon sourire …moi j’ai aimé votre livre et surtout le personnage de Thel,un peu torturé comme nous le sommes un peu tous ..;un flic auquel on s’attache et une histoire qui donne envie de la lire jusqu’au bout pour connaitre qui est le vrai méchant …écrivez en d’autres …

  37. Bonjour,
    J’ai acheté votre livre à Sablet après vous avoir écouté avec M. Dongala et votre voisine de droite (J’ai oublié son nom !!!!! Do you remember ???)
    Pour un coup d’essai, c’est un coup de maître ! Le scénario est bien construit, original, recherché. Le lecteur est tenu en haleine et n’a plus envie de quitter l’histoire. C’est bien écrit, l’humour est omniprésent.
    Comme vous m’aviez très gentiment demandé de vous dire ce qui me plaisait moins, puis-je vous demander -pour le prochain- d’insister sur la description physique des personnages et des lieux, sans que ça devienne ennuyeux (comme Douglas Kennedy sait si bien le faire). J’aime les USA et j’aurais aimé encore plus de présence US (ce qui est typique de Manhattan, de la californie etc..)
    Un grand bravo. Continuez !

  38. je viens de terminer ce livre.C’est une amie qui me l’a offert pour mon anniversaire.Elle a rencontrer l’auteur et l’a fait dédicasser en mon nom.
    j’ai trouvais cette histoire passionnante et bien ficelée.le suspens est au rendez-vous et j’ai pris beaucoup de plaisir à lire cette histoire.Je tiens à féliciter monsieur COSTANTINI et je lui souhaite d’avoir encore beaucoup d’inspiration pour de prochains romans.J’ai hate d’en lire d’autre !!!

  39. Birth of the cool, vraiment. Ce premier roman est à marquer d’une pierre blanche. Ta note noire, champion, c’est de la balle ! (faudra tout de même éviter, à la réédition, les livres d’art qui s’empilent les uns sur les autres. S’ils s’empilent, c’est forcément les uns sur les autres. Tu noteras que page 69, les uns sur les autres, c’est plutôt savoureux ! Bon, ce pléonasme, c’est la seule… fausse note !)
    Bravo encore !

  40. Je viens de finir ce livre que j’ai lu avec facilité et avec bcp de plaisir!!!! Je regrette d ‘avoir raté votre seance de dédicaces a Ghisonaccia (je venais alors de commencer le livre) Habituellemnt amatrice d’auteurs américains, j’ai vraiment apprécié votre style simple avec des chapitres courts. ET cerise sur le gateau: quelle satisfaction de vous voir rendre hommage a nos belles montagnes corses!! (la fierté des corses n’est pas une legende! lol!)
    Felicitations et j’espere lire prochainement votre second roman!!
    A prestu!

  41. Je ne suis pas un grand lecteur mais fut immergé et fasciné par le déroulement des ces faits et de l’intrigue. Thel ainsi que son poulain Alex deviennent si attachants en avançant dans l’histoire. Le scénario et l’intrigue sont dévorants, et par ailleurs le périple NY – Chicago – Nice – LA – Frisco n’est pas sans rappeller des souvenirs… A ne pas louper. Je comparerai ce roman noir à un autre chef d’ouevre, « A la vue, à la mort », de Françoise Guérain. A quand le second ??

    Philippe

  42. Bonsoir Costantini,
    J’ai acquis « La note noire » au refuge « U fucone », chez Paul Maurizi, début août. Vous étiez présent d’ailleurs; j’aurais dû le faire dédicacer. Ce sera pour une prochaine fois. Félicitations pour ce premier roman; j’attends la suite. Est-ce qu’Anna B. va revenir ? Je parie que non.
    Tanti saluti,
    Mathieu Canioni (Ville di Paraso)

  43. Et bien, ça ne m’ a pas pris beaucoup de temps de le lire, ce bouquin, tellement emporté, intrigué par cette histoire, puisque après notre discussion sur le saxo, ses réparateurs parisiens, le flamenco, et ma prestation musicale, j’en ai terminé la lecture dimanche soir (le lendemain, donc). J’aime votre façon de nous emporter dans cette aventure ; pour moi, c’est ce qui importe, lorsque l’on se met à la « disposition » du narrateur, que ce soit romanesque, cinématographique (je pense à Terry Gilliam, qui est pour moi le plus baroque des « raconteurs » d’histoires), ou musical.
    Bravo! merci! et encore! bis! bis!
    Jean Lewin

  44. Salut Christophe !

    Très content de t’avoir rencontré en Corse et ce, pour différentes raisons :
    – ton écoute sincère des jeunes dont je m’occupe
    – la générosité de ta personnalité et de l’endroit que tu nous a fait découvrir (+ la présentation de ton pote Jean-François
    – ton livre est super, ça été notre cadeau de fin de voyage pour les jeunes

    Je te laisse mon email, quand t’es en Belgique, ne va pas à l’hôtel, tu es invité

    Bein à toi

    Raf

  45. Bonjour Christophe,
    Comme demandé samedi rue Davy, je viens poster sur le blog mon avis.
    J’ai beaucoup aimé ton livre : rythme, intrigue et écriture. Je suis plus réservé sur le dénouement, mais ton livre est d’excellente facture, je suis impatient de lire le second. Je pensais que Thel était un vrai amateur de cigare, ce qui n’est pas encore le cas, mais ton serviteur pourra le former.
    Encore toutes mes félicitations.
    Ton voisin de la rue des Moines et amateur de cigares…
    A bientôt

  46. Bravo.A quand le prochain ;félicitations

  47. Je ne lis pas de polars… sauf récemment « est-ce ainsi que les femmes meurent » de Didier Decoin parce que c’est un magnifique roman d’intrigue… et Didier est un ami. Je ferai peut-être une deuxième exception pour « La note noire » car je viens de découvrir que tu es aussi un ami… très ancien ami. Une vieille histoire de balle de golf par une main très novice ! Depuis, je ne me suis toujours pas mise au golf ni au saxo ni au polars ! A bientôt le plaisir de te revoir.

  48. Roman vraiment bien écrit. je l’ai lu d’une traite, j’étais totalement dans l’histoire et l’intrigue. J’en parlerai autour de moi. Le petit plus est que j’ai rencontré Mr Costantini lors du Salon du Polar à La Bresse (88) et que c’est quelqu’un de très gentil et très abordable. Encore toutes mes félicitations pour « La note noire » et vivement le prochain !
    Bien cordialement

  49. J’aurais souhaité laisser une photo de Mr Costantini et moi-même lors de notre rencontre au salon du polar de la Bresse (88) mais je ne vois aucun lien..
    pourriez-vous m’aider.
    merci.
    cordialement

  50. Nous nous sommes rencontrés au salon de la Bresse (88) et bien que je ne sois pas une grande lectrice, vous avez su me convaincre et je n’ai pas eu à le regretter!
    Je souhaite à Thel de trouver l’assassin de sa soeur pour enfin tenter une vie plus soulagée et surtout en paix.
    C’est en effet un bon scénario de film…avec des acteurs inconnus pour une meilleure imprégnation.

  51. bonjour
    nous nous sommes rencontré dans le métro ligne 14 vendredi dernier !
    je n’es pas encore lu votre livre mais de la facon dont vous m’en avez parlé et avec tout les bons commentaires que je lis sur ce blog, je vais l’acheter dés demain !!
    je reviendrais vous dire se que j’en pense mais je suis presque sur de ne pas etre déçu !
    à bientôt

  52. Bonjour,
    J’ai noté un contresens en page 55.The Sunny Side Of The Street dans les états du sud était réservé non pas aux blancs qui risquaient fort d’attraper une insolation, mais aux noirs qui devaient se contenter des inconvenients de l’exposition au soleil. Le coté ombragé de la rue était donc reservé au blancs.

    • Belle et autre explication. Néanmoins, les chanteurs de blues, si on s’en fie aux paroles, rêvaient de marcher sur le côté ensoleillé (sous entendu blanc et fortuné) Merci de la réaction. Le livre vous-a-t-il plu?

  53. Bonjour, les soeurs Aucante après l’organisation du 1er salon du Polar de la Bresse peuvent maintenant se consacrer à la lecture. C’est aussi, l’occasion pour nous d’échanger par mails nos impressions sur nos dernières lectures ainsi Annie la Bressaude à écrit : « Costantini » un pro vraiment, beau style même si l’intrigue est de facture classique
    Brigitte la parisienne est d’accord..peut être une fin trop rapide.Quantà la librairie »L’humeur vagabonde » j’y pense dès que mon stock de livres ramené de La Bresse sera épuisé..Bien cordialement

  54. bonjour, je lis peu de romans et celui-ci m’a beaucoup plu. L’intrigue tient en haleine, la fin est surprenante. Petit bémol, pléthore de noms difficiles à retenir pour des personnages n’ayant que peu d’importance. J’ai souvent reculé pour savoir qui était monsieur… bon comme ça je l’ai fait durer plus longtemps.
    vous souhaitant bonne chance pour le prochain.

  55. bonjour Christophe,

    Très agréable soirée…un bon moment de jazz…Après la lecture de tous ces commentaires….cela me donne envie de découvrir ton personnage….Je vais aller acheter ton livre et te donner très prochainement mon avis….A bientôt….Alexandra

  56. coucou christophe !

    Je viens de terminer ton bouquin..Un agréable moment de lecture..J’aime bien ton style…Hâte de lire le prochain..Maintenant il me manque une petite dédicace..Peut être lors d’un prochain concert de jazz..Bonne journée…Bises Alexandra

  57. Excellent polar; pour un premier roman, c’est une vraie réussite, un style parfaitement maîtrisé, une profondeur des personnages et une histoire béton. Je l’ai lu d’un traite. J’ai beaucoup aimé l’alternance entre les Etats-Unis et la France, c’est un réel plus. Je ne connais pas tous les morceaux de jazz cités dans le livre mais ça m’a donné envie de relire le roman avec en toile de fond les musiques citées, cela apporte une perspective historique au livre que je trouve très intéressante. C’est peut-être comme cela que vous avez écrit votre roman?!!
    J’attends avec impatience de lire le prochain.
    Bien cordialement
    Agnès

  58. J’ai acheté le livre poussé par le buzz, malgré mon peu de goût pour le polar, et, surprise, la fin m’a tenu éveillé jusqu’à pas d’heure. Bon, il y a bien quelques passages à l’écriture maladroite ou à la poésie un peu « funny tobacco »…

    Et puis le jazz, la bouffe, les femmes, father John, le Kenya, les enfants unqiues… mon petit doigt me dit que cela tient aussi de l’autobiographie romancée, non?

    • T’es un king
      t’as oublié la Corse non?
      Embrasse toute la famille et fais moi signe à Paris

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